Rien que de très banal : Neeson ne se souvient plus exactement qui il était, à la suite d'un accident de la circulation. Le spectateur comprend vite que cet amnésique était quelqu'un de tout à fait différent de ce qu'il croit désormais être. Comment un universitaire pourrait-il, en effet, réserver la suite la plus luxueuse de l'hôtel Adlon à Berlin, accompagné de sa superbe pépé d'épouse et éliminer impitoyablement des tueurs lancés à ses trousses grâce à une force herculéenne et une science consommée du close-combat et de l'usage de l'arme blanche ?
Les second rôles s'agitent comme des caricatures autour de cette intrigue cousue de fil noir, notamment un Bruno Ganz dont le rôle d'ancien de la Stasi aurait pu mieux être exploité. Dommage.
Un film sans identité qui sera vite oublié, c'est logique non ?
Les second rôles s'agitent comme des caricatures autour de cette intrigue cousue de fil noir, notamment un Bruno Ganz dont le rôle d'ancien de la Stasi aurait pu mieux être exploité. Dommage.
Un film sans identité qui sera vite oublié, c'est logique non ?