1 – Les François parlent aux François
A l’heure où l’on célèbre Marignan et François 1er, François le Mou dit le hollandais, qui régna réellement de mai à juillet 2012, le temps d’une mise au pas virtuelle de l’ennemi financier, aurait dû méditer son célèbre : « Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie ».
Fol et pas mol ni même le Foll, notez-le bien.
Ainsi, après avoir demandé aux pays aux avant-postes de l’arrivée des clandestins de les immobiliser et les trier, puis avoir soudain proclamé qu’elle était capable d’en accueillir des centaines de milliers, créant un formidable appel d’air, Angela Merkel est revenue à ses premières dispositions. Cette révolution, au sens propre du terme, n’aura pris que quelques jours. Il faut à nouveau contenir cette foule dit-elle, faire le tri entre réfugiés et émigrants économiques, naturellement sur le territoire des autres, ces vulgaires Grecs, Hongrois, Serbes et Italiens.
Si ces Etats voyous n’obtempèrent pas aux désirs d’Angela, gare aux châtiments financiers ! Les voilà menacés d’une rupture non conventionnelle d’accès au robinet des aides européennes. Puisque l’Allemagne a acheté un brevet de morale bobo aux médias bien-pensants du monde entier, elle se croit désormais affranchie de l’obligation de prendre des gants avec les gouvernements qui ne filent pas droit, tels de vulgaires Syriza.
L’Allemagne a su, depuis trente ans, tirer parti de l’écu puis de l’euro. Elle est entrée dans la monnaie unique avec un taux de change du mark sous-évalué, contrairement à ce qui est généralement dit, a délocalisé massivement sa production hors zone euro pour comprimer ses coûts et, c’est aussi vrai, a fait des réformes libérales que la France n’a jamais eu le courage de faire. L’économie allemande bénéficie donc d’un dynamisme et d’une prospérité en partie construits aux dépens de ses voisins du Sud, ce qui fait peu à peu renaître morgue et volonté de domination au sein de sa classe dirigeante.
L’affaire dite des migrants était une opportunité magnifique : Merkel se rachetait une bonne conscience et satisfaisait aux intérêts de Volkswagen tout à la fois. Mais, si elle avait étudié les mythes grecs autre part que dans les couloirs de Francfort et Bruxelles, elle aurait eu vent de la fameuse boîte de Pandore. Las ! Ce récipient à catastrophes est désormais grand ouvert. Les chiffres lancés en pâture à l’opinion sont manipulés par la presse de gauche et les associations, qui se gardent bien d’insister sur le discret « autres nationalités » qui montre que ces migrants ne sont pas, pour beaucoup d’entre eux, des réfugiés venant de zones à risque. La pression sur les systèmes d’aide sociale est déjà forte et il sera très difficile de la contenir sans recourir à la force.
Beaucoup a été dit et écrit sur les motivations allemandes et le trouble souvenir du temps pas si lointain où ce pays infligea à l’humanité une de ses pires séquences criminelles. De mauvais esprits pourraient même se demander si cette volonté de s’appuyer sur les masses d’Afrique et d’Orient pour renforcer sa domination sur les nations qui l’entourent ne renvoie pas inconsciemment au triste épisode du nazisme cherchant le soutien du monde arabe et du grand mufti de Jérusalem.
Heureusement, aucun mauvais esprit ne pousse dans les Pots aux Roses …
2 – De l’intérêt pour les conflits
S’il est un domaine où la continuité de l’Etat est assurée, c’est bien celui de la domination de l’Inspection des finances et de son réseau sur le système politico-financier français. Un certain Villeroy de Galhau, socialiste à la mode de Bercy et serviteur de DSK dans ses flamboyantes aventures au ministère des finances, s’appuie sur cette camarilla pour mettre la main sur le gouvernorat de la Banque de France. Fort de l’aide de son copain de corps et d’esprit Jouyet, qui officia tant sous Sarkozy que sous Hollande, il a obtenu le gros lot après avoir accompli une vague mission de six mois pour le gouvernement, période minimum pour faire oublier qu’il émargeait à la BNP et risque ainsi le conflit d’intérêt. Mais ce n’est pas grave puisqu’il a écrit une lettre pour jurer qu’il ne se mêlerait pas des affaires de son ancienne banque pendant … deux ans !
S’agissant du principal établissement financier français, on ne voit pas comment la moindre décision qu’il prendra ou à laquelle il participera, quand bien même elle n’impliquerait pas directement la BNP, n’aurait pas d’incidence pour cette dernière. Sachant de toute façon que l’arbre cache ici la forêt et que le vrai conflit oppose l’Inspection des finances à l’intérêt de la France qui ne peut se réduire à celui d’une infime privilégiature de banquiers évoluant à la lisière du politique et du financier. Le rôle catastrophique de cette corporation dans le suivisme de la classe dirigeante française vis-à-vis de Bruxelles et Berlin, dont on voit en ce moment même les effets dévastateurs sur le sujet des migrants, est bien plus problématique encore qu’une confusion des genres à l’échelle d’un individu.
3 – Amen aux Femens !
La nouvelle peste brune qui se répand en Europe et prend la forme d’un islam régressif et bigot prospère d’autant plus facilement que les pouvoirs publics préfèrent ne pas voir le problème et accumulent ces sombres petites capitulations qui à terme fabriquent les grands désastres.
Comme personne ou presque ne résiste ou se rebiffe, ces Tartuffes en djellabas se sentent pousser des ailes et ont demandé à des prédicateurs de venir exposer leur vision de la femme docile, forcément docile, à la tribune d’un salon. Heureusement, deux courageuses Femens ont surgi telles de luxurieuses diablotines, élégamment dépoitraillées et ont dit leur fait à ces prêcheurs patibulaires. Et en arabe, pour corser l’affaire !
Elles sont un exemple à méditer et montrent que le combat contre ce mal du siècle va requérir de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace.
A l’heure où l’on célèbre Marignan et François 1er, François le Mou dit le hollandais, qui régna réellement de mai à juillet 2012, le temps d’une mise au pas virtuelle de l’ennemi financier, aurait dû méditer son célèbre : « Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie ».
Fol et pas mol ni même le Foll, notez-le bien.
Ainsi, après avoir demandé aux pays aux avant-postes de l’arrivée des clandestins de les immobiliser et les trier, puis avoir soudain proclamé qu’elle était capable d’en accueillir des centaines de milliers, créant un formidable appel d’air, Angela Merkel est revenue à ses premières dispositions. Cette révolution, au sens propre du terme, n’aura pris que quelques jours. Il faut à nouveau contenir cette foule dit-elle, faire le tri entre réfugiés et émigrants économiques, naturellement sur le territoire des autres, ces vulgaires Grecs, Hongrois, Serbes et Italiens.
Si ces Etats voyous n’obtempèrent pas aux désirs d’Angela, gare aux châtiments financiers ! Les voilà menacés d’une rupture non conventionnelle d’accès au robinet des aides européennes. Puisque l’Allemagne a acheté un brevet de morale bobo aux médias bien-pensants du monde entier, elle se croit désormais affranchie de l’obligation de prendre des gants avec les gouvernements qui ne filent pas droit, tels de vulgaires Syriza.
L’Allemagne a su, depuis trente ans, tirer parti de l’écu puis de l’euro. Elle est entrée dans la monnaie unique avec un taux de change du mark sous-évalué, contrairement à ce qui est généralement dit, a délocalisé massivement sa production hors zone euro pour comprimer ses coûts et, c’est aussi vrai, a fait des réformes libérales que la France n’a jamais eu le courage de faire. L’économie allemande bénéficie donc d’un dynamisme et d’une prospérité en partie construits aux dépens de ses voisins du Sud, ce qui fait peu à peu renaître morgue et volonté de domination au sein de sa classe dirigeante.
L’affaire dite des migrants était une opportunité magnifique : Merkel se rachetait une bonne conscience et satisfaisait aux intérêts de Volkswagen tout à la fois. Mais, si elle avait étudié les mythes grecs autre part que dans les couloirs de Francfort et Bruxelles, elle aurait eu vent de la fameuse boîte de Pandore. Las ! Ce récipient à catastrophes est désormais grand ouvert. Les chiffres lancés en pâture à l’opinion sont manipulés par la presse de gauche et les associations, qui se gardent bien d’insister sur le discret « autres nationalités » qui montre que ces migrants ne sont pas, pour beaucoup d’entre eux, des réfugiés venant de zones à risque. La pression sur les systèmes d’aide sociale est déjà forte et il sera très difficile de la contenir sans recourir à la force.
Beaucoup a été dit et écrit sur les motivations allemandes et le trouble souvenir du temps pas si lointain où ce pays infligea à l’humanité une de ses pires séquences criminelles. De mauvais esprits pourraient même se demander si cette volonté de s’appuyer sur les masses d’Afrique et d’Orient pour renforcer sa domination sur les nations qui l’entourent ne renvoie pas inconsciemment au triste épisode du nazisme cherchant le soutien du monde arabe et du grand mufti de Jérusalem.
Heureusement, aucun mauvais esprit ne pousse dans les Pots aux Roses …
2 – De l’intérêt pour les conflits
S’il est un domaine où la continuité de l’Etat est assurée, c’est bien celui de la domination de l’Inspection des finances et de son réseau sur le système politico-financier français. Un certain Villeroy de Galhau, socialiste à la mode de Bercy et serviteur de DSK dans ses flamboyantes aventures au ministère des finances, s’appuie sur cette camarilla pour mettre la main sur le gouvernorat de la Banque de France. Fort de l’aide de son copain de corps et d’esprit Jouyet, qui officia tant sous Sarkozy que sous Hollande, il a obtenu le gros lot après avoir accompli une vague mission de six mois pour le gouvernement, période minimum pour faire oublier qu’il émargeait à la BNP et risque ainsi le conflit d’intérêt. Mais ce n’est pas grave puisqu’il a écrit une lettre pour jurer qu’il ne se mêlerait pas des affaires de son ancienne banque pendant … deux ans !
S’agissant du principal établissement financier français, on ne voit pas comment la moindre décision qu’il prendra ou à laquelle il participera, quand bien même elle n’impliquerait pas directement la BNP, n’aurait pas d’incidence pour cette dernière. Sachant de toute façon que l’arbre cache ici la forêt et que le vrai conflit oppose l’Inspection des finances à l’intérêt de la France qui ne peut se réduire à celui d’une infime privilégiature de banquiers évoluant à la lisière du politique et du financier. Le rôle catastrophique de cette corporation dans le suivisme de la classe dirigeante française vis-à-vis de Bruxelles et Berlin, dont on voit en ce moment même les effets dévastateurs sur le sujet des migrants, est bien plus problématique encore qu’une confusion des genres à l’échelle d’un individu.
3 – Amen aux Femens !
La nouvelle peste brune qui se répand en Europe et prend la forme d’un islam régressif et bigot prospère d’autant plus facilement que les pouvoirs publics préfèrent ne pas voir le problème et accumulent ces sombres petites capitulations qui à terme fabriquent les grands désastres.
Comme personne ou presque ne résiste ou se rebiffe, ces Tartuffes en djellabas se sentent pousser des ailes et ont demandé à des prédicateurs de venir exposer leur vision de la femme docile, forcément docile, à la tribune d’un salon. Heureusement, deux courageuses Femens ont surgi telles de luxurieuses diablotines, élégamment dépoitraillées et ont dit leur fait à ces prêcheurs patibulaires. Et en arabe, pour corser l’affaire !
Elles sont un exemple à méditer et montrent que le combat contre ce mal du siècle va requérir de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace.