Thalys bang
THALYS MAN
En fait c’est plutôt Thalys Men, car ils étaient 4, les héros qui ont mis hors d’état de nuire le déchet de l'humanité qui a essayé de faire un carnage dans le TGV Bruxelles-Paris. 2 militaires américains et un copain étudiant, plus un sexagénaire anglais vivant en France. Pour mémoire : Spencer Stone, Aleksander Skarlatos, Anthony Sadler et Chris Norman. Un grand bravo à eux ! Pas de bravo en revanche pour les employés de la SNCF qui se sont réfugiés dans la motrice et ont refusé d’aider les passagers.
Les agents de la RATP et de la SNCF exercent leur droit de retrait quand on s’attaque à eux, mais les passagers ne sont que des « usagers », qu’on les viole, hache menu ou crible de balles, ce n’est pas leurs oignons, ils sont juste là pour servir de prétexte à faire rouler le train. Le mot « client » ne fait même pas partie du vocabulaire de ces sociétés. Ce serait faire trop d’honneur à l’agresseur que de citer son nom, il ne mérite que l’anonymat et l’oubli définitif au fond d’une geôle. Je trouve ahurissant que les journalistes de notre presse anti-amalgame passent en boucle les élucubrations de ce minable : « j’ai trouvé les armes dans un parc » ahahah : tout le monde sait que dans les espaces verts bruxellois il suffit de se promener pour trouver des sacs remplis d’armes… « Je ne vois pas pourquoi on fait un tel foin, quoi, je voulais juste faire un braquage, j’avais besoin de sous, vous comprenez quoi… » Il nous dira bientôt : « Allah ? Qui sait ça, un ami à vous ? » Ben voyons !
On ne peut pas non plus féliciter les locataires de la place Beauvau… Le gars était connu des services de police, ah bon ? Et surveillé ? Ce qui prouve que la loi sur le renseignement ne flique guère que les innocents. On dirait bien que ce n’est qu’une police politique au service du Parti. Nous avons quand même de la chance que ce soient des Américains qui aient pu réagir et empêcher la fripouille de frapper (il y a quand même eu un blessé par balle), parce que s’ils avaient été Français la mère Taubira les aurait mis en taule : ils ne l’ont pas trop ménagé, le disciple du Coran continu.
Il est maintenant avéré que ce détritus ambulant d’origine marocaine a vécu en Espagne jusqu’en 2014 où il était effectivement surveillé car la police espagnole avait noté un endoctrinement salafiste. Peut-être s’est-il senti un peu trop surveillé, il est venu s’établir en France après un passage vers la Syrie. Les Espagnols nous ont avertis. Ciel ! Pas d’amalgame, tout le monde sait que la police espagnole est très vilaine, il y a du franquisme là-dessous, c’est bien sûr, surtout avec le PP au pouvoir.
Donc ce type a eu une carte de séjour alors qu’il aurait dû avoir un billet « retour Maroc ». Guillaume Pépy, l’impayable (mais hélas payé) patron de la SNCF, nous explique doctement que contrairement à ce que la Belgique va mettre en place, qui existe déjà dans toutes les gares TGV en Espagne en en Grande Bretagne, on ne peut installer de détecteurs dans les gares de France. Il est exact que nous avons beaucoup de TGV, encore que le réseau espagnol soit aussi très dense et que les deux gares de Madrid n’ont rien à envier en taille aux gares parisiennes, et pourtant il y a très longtemps qu’on y a mis en place des détecteurs et qu’on présente ses papiers pour monter dans le TGV. La seule chose que je lui concède, c’est que si nous sécurisons les TGV, le prochain taré coranisé s’en prendra à un train de banlieue, un RER ou un métro. Le meilleur moyen de protéger la population est donc d’agir à la source. Marine Le Pen a donc raison de demander qu’on expulse les étrangers soupçonnés fortement d’islamisation radicale, ça c’est la moindre des choses.
Mais il faut aller plus loin, car on a hélas bradé la nationalité française à des gens qui non seulement n’auraient jamais dû l’avoir, mais qui ne nous en sont pas reconnaissants pour une alloc. A risque radical, mesures radicales. Dois-je rappeler que la première mission de l’état est d’assurer la sécurité des biens et des personnes ? Retirer la nationalité française à ceux qui ont une nationalité de rechange et que l’on sait islamisés, à fortiori s’ils ont déjà commis des actes de délinquance, puis à la première incartade les renvoyer chez eux AVEC TOUTE LEUR FAMILLE y compris les parents, frères et cousins et adieu les allocs et autres aides sociales, je pense que ça en calmerait quelques-uns. Quant aux Français de souche qui se convertissent et s’en vont guerroyer chez Daesch ou chez Al Qaida, pas de pitié, au retour c’est le tribunal militaire avec toutes les conséquences qui en découlent. Nous sommes en guerre contre l’islam radical. Rappelez-moi ce qui se passe en temps de guerre pour un « soldat » qui trahit sa patrie ?
LE TRIO INFERNAL
Varoufakis s’allie avec Mélenchon et Montebourg. On croyait que Montebourg, après son passage à l’INSEAD, avait appris un peu l’économie et même qu’il avait monté une entreprise, puis comme c’est trop dur d’être patron en France en 2015 (la faute à qui ?), qu’il était rentré chez Habitat. Y est-il resté ? On dirait bien qu’il essaie de revenir en politique, et il s’allie avec le destructeur de ce qui restait de l´économie grecque. C’est qu’il s’y connait en friche industrielle le Montebourg : après son passage, c’était comme si le tissu industriel français avait subi un bombardement massif. Il ne s’en est pas remis et ce ne sont pas les « mirifiques » 1% de croissance attendus mais d’autant plus aléatoires que la conjoncture mondiale est en train de se retourner, qui va arranger les choses.
Lisant cette nouvelle d’alliance de serial loosers sur yahoo, je remarquai le commentaire d’un internaute qui valait son pesant de cacahuètes, à propos des sollicitations de l’Eurogroupe en Grèce : « ah mais quoi si on ne veut pas être en régime libéral et qu’on vote pour l’état providence, on a le droit, non, sinon c’est plus la démocratie ».
Oui, cet internaute a indéniablement raison : on peut voter pour l’état providence. Même pour le PCF. Mais si l’on n’est pas un haut fonctionnaire, un élu, ou un assisté professionnel, il faut être très con pour le faire. Très très con ! Hélas on peut être très con et avoir le droit de vote, ça aussi c’est démocratique. Le pire c’est qu’en fin de course, le régime « providentiel » va forcément se transformer en dictature, ou disparaître. Les victimes de Chavez en savent quelque chose. Un régime libéral peut être tempéré, un régime « providentiel », jamais !
Qu’est-ce que l’état-providence : c’est un état qui vit au-dessus des moyens de ses contribuables. Lorsque Contribuables Associés nous annonce que nous travaillons tous pour l’état jusqu’au 29 juillet, ils oublient de préciser qu’en fait 50% des Français paient l’impôt sur le revenu (et donc aussi la totalité des impôts locaux) et que seuls 10 % paient 80% de la facture. Ces 10% travaillent donc pour l’état bien plus tard que le 29 juillet. Ils ne disent pas non plus que cela ne suffit pas puisque dès le 1er septembre nous endettons le pays, donc les futurs contribuables, pour finir de payer les fonctionnaires. Précisons que les 10% qui paient si lourd ne sont pas forcément des gens très riches, car les plus riches connaissent toutes les combines légales pour ne pas trop payer, quand ils ne sont pas partis à l’étranger.
Le problème de l’état-providence, c’est que l’état n’est pas une entité matérielle, pas même ce qu’on appelle juridiquement une personne morale, c’est un ensemble d’êtres humains qui gèrent l’argent que le contribuable leur confie. Sous prétexte de « protéger » ses ressortissants, l’état va étendre sa sphère d’influence au point de finir par s’immiscer dans la vie privée des citoyens, leur dire à tout instant ce qu’ils doivent faire, comment ils doivent se déplacer, se nourrir etc… On en arrive à un système à trois vitesses : les profiteurs du système sont évidemment les hommes de l’état, élus et hauts fonctionnaires, mais aussi un certain nombre de parasites, des industriels impliqués dans les marchés publics, des conseillers en tout genre, etc…
Tous ces gens représentent une oligarchie qui confisque à son profit le travail des contribuables-esclaves et se pare de vertus en redistribuant des miettes à un grand nombre de miséreux – qu’on n’hésite pas à faire venir d’ailleurs au nom du droit d’asile – de catégories protégées (fonctionnaires mal payés mais avec emploi à vie) et de faux malchanceux ou flemmards invétérés qui ont fait leur choix de vivre d’aides sociales quitte à traficoter au black de temps en temps. Et ces gens assistés et dépendants sont forcés de bien voter pour ne pas perdre ce qu’ils croient être de grands avantages pour les uns ou une question de survie pour les autres, ce qui pérennise le système. Ça s’appelle « clientélisme ». Plus il y en a, plus l’oligarchie a de chances de continuer à mettre le pays en coupe réglée. Là où ça finit par coincer c’est que les assistés de plus en plus nombreux – qui considèrent ce qu’on leur offre comme un dû – en réclament toujours plus. Résultat le contribuable trime de plus en plus pour les profiteurs et de moins en moins pour lui, et finit par se rebiffer, tricher, quitter le pays, ou se mettre à moins travailler et tenter lui aussi de profiter. Ceux qui essaient de continuer malgré tout ont de moins en moins d’argent, consomment de moins en moins, ne font pas tourner l’économie. Le résultat est toujours le même : le pays est en faillite. Soit il change de régime démocratiquement : ce fut le cas de la Grande Bretagne dans les années 70, de la Suède plus tard, bientôt ce sera le cas du Danemark que l’on nous présentait comme un modèle, soit s’installe une dictature, et là hormis l’oligarchie, tout le monde est perdant.
Où en est la France ?
En fait c’est plutôt Thalys Men, car ils étaient 4, les héros qui ont mis hors d’état de nuire le déchet de l'humanité qui a essayé de faire un carnage dans le TGV Bruxelles-Paris. 2 militaires américains et un copain étudiant, plus un sexagénaire anglais vivant en France. Pour mémoire : Spencer Stone, Aleksander Skarlatos, Anthony Sadler et Chris Norman. Un grand bravo à eux ! Pas de bravo en revanche pour les employés de la SNCF qui se sont réfugiés dans la motrice et ont refusé d’aider les passagers.
Les agents de la RATP et de la SNCF exercent leur droit de retrait quand on s’attaque à eux, mais les passagers ne sont que des « usagers », qu’on les viole, hache menu ou crible de balles, ce n’est pas leurs oignons, ils sont juste là pour servir de prétexte à faire rouler le train. Le mot « client » ne fait même pas partie du vocabulaire de ces sociétés. Ce serait faire trop d’honneur à l’agresseur que de citer son nom, il ne mérite que l’anonymat et l’oubli définitif au fond d’une geôle. Je trouve ahurissant que les journalistes de notre presse anti-amalgame passent en boucle les élucubrations de ce minable : « j’ai trouvé les armes dans un parc » ahahah : tout le monde sait que dans les espaces verts bruxellois il suffit de se promener pour trouver des sacs remplis d’armes… « Je ne vois pas pourquoi on fait un tel foin, quoi, je voulais juste faire un braquage, j’avais besoin de sous, vous comprenez quoi… » Il nous dira bientôt : « Allah ? Qui sait ça, un ami à vous ? » Ben voyons !
On ne peut pas non plus féliciter les locataires de la place Beauvau… Le gars était connu des services de police, ah bon ? Et surveillé ? Ce qui prouve que la loi sur le renseignement ne flique guère que les innocents. On dirait bien que ce n’est qu’une police politique au service du Parti. Nous avons quand même de la chance que ce soient des Américains qui aient pu réagir et empêcher la fripouille de frapper (il y a quand même eu un blessé par balle), parce que s’ils avaient été Français la mère Taubira les aurait mis en taule : ils ne l’ont pas trop ménagé, le disciple du Coran continu.
Il est maintenant avéré que ce détritus ambulant d’origine marocaine a vécu en Espagne jusqu’en 2014 où il était effectivement surveillé car la police espagnole avait noté un endoctrinement salafiste. Peut-être s’est-il senti un peu trop surveillé, il est venu s’établir en France après un passage vers la Syrie. Les Espagnols nous ont avertis. Ciel ! Pas d’amalgame, tout le monde sait que la police espagnole est très vilaine, il y a du franquisme là-dessous, c’est bien sûr, surtout avec le PP au pouvoir.
Donc ce type a eu une carte de séjour alors qu’il aurait dû avoir un billet « retour Maroc ». Guillaume Pépy, l’impayable (mais hélas payé) patron de la SNCF, nous explique doctement que contrairement à ce que la Belgique va mettre en place, qui existe déjà dans toutes les gares TGV en Espagne en en Grande Bretagne, on ne peut installer de détecteurs dans les gares de France. Il est exact que nous avons beaucoup de TGV, encore que le réseau espagnol soit aussi très dense et que les deux gares de Madrid n’ont rien à envier en taille aux gares parisiennes, et pourtant il y a très longtemps qu’on y a mis en place des détecteurs et qu’on présente ses papiers pour monter dans le TGV. La seule chose que je lui concède, c’est que si nous sécurisons les TGV, le prochain taré coranisé s’en prendra à un train de banlieue, un RER ou un métro. Le meilleur moyen de protéger la population est donc d’agir à la source. Marine Le Pen a donc raison de demander qu’on expulse les étrangers soupçonnés fortement d’islamisation radicale, ça c’est la moindre des choses.
Mais il faut aller plus loin, car on a hélas bradé la nationalité française à des gens qui non seulement n’auraient jamais dû l’avoir, mais qui ne nous en sont pas reconnaissants pour une alloc. A risque radical, mesures radicales. Dois-je rappeler que la première mission de l’état est d’assurer la sécurité des biens et des personnes ? Retirer la nationalité française à ceux qui ont une nationalité de rechange et que l’on sait islamisés, à fortiori s’ils ont déjà commis des actes de délinquance, puis à la première incartade les renvoyer chez eux AVEC TOUTE LEUR FAMILLE y compris les parents, frères et cousins et adieu les allocs et autres aides sociales, je pense que ça en calmerait quelques-uns. Quant aux Français de souche qui se convertissent et s’en vont guerroyer chez Daesch ou chez Al Qaida, pas de pitié, au retour c’est le tribunal militaire avec toutes les conséquences qui en découlent. Nous sommes en guerre contre l’islam radical. Rappelez-moi ce qui se passe en temps de guerre pour un « soldat » qui trahit sa patrie ?
LE TRIO INFERNAL
Varoufakis s’allie avec Mélenchon et Montebourg. On croyait que Montebourg, après son passage à l’INSEAD, avait appris un peu l’économie et même qu’il avait monté une entreprise, puis comme c’est trop dur d’être patron en France en 2015 (la faute à qui ?), qu’il était rentré chez Habitat. Y est-il resté ? On dirait bien qu’il essaie de revenir en politique, et il s’allie avec le destructeur de ce qui restait de l´économie grecque. C’est qu’il s’y connait en friche industrielle le Montebourg : après son passage, c’était comme si le tissu industriel français avait subi un bombardement massif. Il ne s’en est pas remis et ce ne sont pas les « mirifiques » 1% de croissance attendus mais d’autant plus aléatoires que la conjoncture mondiale est en train de se retourner, qui va arranger les choses.
Lisant cette nouvelle d’alliance de serial loosers sur yahoo, je remarquai le commentaire d’un internaute qui valait son pesant de cacahuètes, à propos des sollicitations de l’Eurogroupe en Grèce : « ah mais quoi si on ne veut pas être en régime libéral et qu’on vote pour l’état providence, on a le droit, non, sinon c’est plus la démocratie ».
Oui, cet internaute a indéniablement raison : on peut voter pour l’état providence. Même pour le PCF. Mais si l’on n’est pas un haut fonctionnaire, un élu, ou un assisté professionnel, il faut être très con pour le faire. Très très con ! Hélas on peut être très con et avoir le droit de vote, ça aussi c’est démocratique. Le pire c’est qu’en fin de course, le régime « providentiel » va forcément se transformer en dictature, ou disparaître. Les victimes de Chavez en savent quelque chose. Un régime libéral peut être tempéré, un régime « providentiel », jamais !
Qu’est-ce que l’état-providence : c’est un état qui vit au-dessus des moyens de ses contribuables. Lorsque Contribuables Associés nous annonce que nous travaillons tous pour l’état jusqu’au 29 juillet, ils oublient de préciser qu’en fait 50% des Français paient l’impôt sur le revenu (et donc aussi la totalité des impôts locaux) et que seuls 10 % paient 80% de la facture. Ces 10% travaillent donc pour l’état bien plus tard que le 29 juillet. Ils ne disent pas non plus que cela ne suffit pas puisque dès le 1er septembre nous endettons le pays, donc les futurs contribuables, pour finir de payer les fonctionnaires. Précisons que les 10% qui paient si lourd ne sont pas forcément des gens très riches, car les plus riches connaissent toutes les combines légales pour ne pas trop payer, quand ils ne sont pas partis à l’étranger.
Le problème de l’état-providence, c’est que l’état n’est pas une entité matérielle, pas même ce qu’on appelle juridiquement une personne morale, c’est un ensemble d’êtres humains qui gèrent l’argent que le contribuable leur confie. Sous prétexte de « protéger » ses ressortissants, l’état va étendre sa sphère d’influence au point de finir par s’immiscer dans la vie privée des citoyens, leur dire à tout instant ce qu’ils doivent faire, comment ils doivent se déplacer, se nourrir etc… On en arrive à un système à trois vitesses : les profiteurs du système sont évidemment les hommes de l’état, élus et hauts fonctionnaires, mais aussi un certain nombre de parasites, des industriels impliqués dans les marchés publics, des conseillers en tout genre, etc…
Tous ces gens représentent une oligarchie qui confisque à son profit le travail des contribuables-esclaves et se pare de vertus en redistribuant des miettes à un grand nombre de miséreux – qu’on n’hésite pas à faire venir d’ailleurs au nom du droit d’asile – de catégories protégées (fonctionnaires mal payés mais avec emploi à vie) et de faux malchanceux ou flemmards invétérés qui ont fait leur choix de vivre d’aides sociales quitte à traficoter au black de temps en temps. Et ces gens assistés et dépendants sont forcés de bien voter pour ne pas perdre ce qu’ils croient être de grands avantages pour les uns ou une question de survie pour les autres, ce qui pérennise le système. Ça s’appelle « clientélisme ». Plus il y en a, plus l’oligarchie a de chances de continuer à mettre le pays en coupe réglée. Là où ça finit par coincer c’est que les assistés de plus en plus nombreux – qui considèrent ce qu’on leur offre comme un dû – en réclament toujours plus. Résultat le contribuable trime de plus en plus pour les profiteurs et de moins en moins pour lui, et finit par se rebiffer, tricher, quitter le pays, ou se mettre à moins travailler et tenter lui aussi de profiter. Ceux qui essaient de continuer malgré tout ont de moins en moins d’argent, consomment de moins en moins, ne font pas tourner l’économie. Le résultat est toujours le même : le pays est en faillite. Soit il change de régime démocratiquement : ce fut le cas de la Grande Bretagne dans les années 70, de la Suède plus tard, bientôt ce sera le cas du Danemark que l’on nous présentait comme un modèle, soit s’installe une dictature, et là hormis l’oligarchie, tout le monde est perdant.
Où en est la France ?