LA POMPE A PHYNANCES EST ENRAYEE
La Khméresse de Paris souffre sans doute d’Alzheimer : elle vient de s’apercevoir que les finances de la ville sont au plus bas et elle a oublié de réclamer à son ex, Normal 1er, la dotation de 1 milliard d’euros de l’état qui en général n’est payée qu’après maintes relances.
Donc, elle ne se souvient pas de ce qu’elle a fait les 6 dernières années où elle était, sauf erreur, une adjointe de premier plan du sieur Delanoë. A ce stade ça se soigne.
Et quand elle va voir le résultat de la politique du logement de sa copine Duflot, il n’y aura plus qu’à vendre l’Hôtel de Ville – si elle parvient à réunir la paperasse adéquate – et les contribuables Parisiens lui offriront volontiers une tente.
Y A-T-IL UNE VIE PENDANT LE FOOT ?
Le monde entier a les yeux scotchés sur le Brésil. La terre s’est arrêtée de tourner. Le temps a suspendu son vol, tandis que sur le stade, un ballon rond, ou comme le dit désormais l’éducation nationale : un référentiel bondissant que se disputent vingt-deux pithécanthropes bas du front, poursuit sa course vers le fond d’un filet.
Du pain et des jeux, c’est ce qui fait marcher le monde depuis longtemps.
L’actualité n’offre plus que quelques faits divers navrants, noyés sous des dissertations sans fin sur le score des équipes, les pronostics, les analyses de jeu, l’éventuel état de santé de tel joueur… J’ai coupé ma télé. L’occasion ou jamais de se plonger dans les livres que l’on n’a pas encore eu le temps de lire, comme « Français, prêts pour la révolution ? » de Serge Federbusch.
LE PIB DE L’OMBRE
Quand on parle de pithécanthropes bas du front, il n’y a pas que dans le foot. Il y a aussi quelques technocrates bien trempés qui ne savent plus quoi inventer pour truquer les chiffres de la croissance. Déjà que le PIB est entaché des dépenses publiques, de sorte qu’une politique bien keynésienne consistant à dilapider l’argent du contribuable pour construire un aéroport sans avions (suivez mon regard vers l’ouest), grossit le PIB artificiellement ! Ce qui d’ailleurs fait croire que la France a une petite croissance, tant que la dépense publique augmente, alors qu’elle n’est qu’en trompe l’œil : seules les activités utiles génèrent de la richesse.
Mais il est très difficile de séparer les activités publiques utiles des autres : construire un pont qui va amener du trafic et désengorger une route est une bonne chose, construire le même pont entre deux voies où ne passe personne est nuisible pour les finances publiques, or dans le premier cas, il sera très compliqué d’évaluer le bénéfice.
Mais bon, la dernière des Bruxellois est quand même raide : inclure les activités illégales telles que la drogue, la prostitution et le trafic d’armes dans le PIB, et aussi le travail au noir… Saluons le mérite de l’INSEE, une fois n’est pas coutume, de ne pas accepter cette tricherie. Par définition ces activités étant illégales, cela veut dire que l’on pourra y mettre n’importe quoi, au pif, suivant des évaluations dont le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elles tiennent de la boule de cristal (ou de la mauvaise foi).
Sauf si c’est un moyen détourné de nous pousser à légaliser toutes ou une partie de ces activités : les pays qui l’ont déjà fait ont forcément un calcul de PIB plus favorable que les autres. Mais avant de rentrer ces données dans le calcul de la richesse produite, mieux vaudrait faire le bilan de la « légalisation » là où cela a été fait et au cas par cas. Et quid du travail au noir ? On ne l’interdit plus ?
LES INTERMITTEUX DU SPECTACLE
Comme les clignotants de l’assurance chômage échevelée des faiseurs de spectacle sont au rouge, les « artistes » nous jouent un scénario affligeant. Ils refusent d’aller se faire voir dans les festivals ? Mais s’ils ne vont pas au festival, le festival n’ira pas à eux ! Point de places gratuites pour tous les parasites de la cul - ture subventionnée. Un amuseur public qui n’amuse que lui ne touche pas le chômage, il change de métier. Un technicien du spectacle qui travaille régulièrement n’a pas de raison de se considérer comme « intermittent » : il a le choix entre CDD, intérim ou freelance, comme tout le monde et cotisera au chômage s’il est salarié. Tout le reste n’est que parasitage. Circulez, messieurs les bouffons, il n’y a rien à voir.
La Khméresse de Paris souffre sans doute d’Alzheimer : elle vient de s’apercevoir que les finances de la ville sont au plus bas et elle a oublié de réclamer à son ex, Normal 1er, la dotation de 1 milliard d’euros de l’état qui en général n’est payée qu’après maintes relances.
Donc, elle ne se souvient pas de ce qu’elle a fait les 6 dernières années où elle était, sauf erreur, une adjointe de premier plan du sieur Delanoë. A ce stade ça se soigne.
Et quand elle va voir le résultat de la politique du logement de sa copine Duflot, il n’y aura plus qu’à vendre l’Hôtel de Ville – si elle parvient à réunir la paperasse adéquate – et les contribuables Parisiens lui offriront volontiers une tente.
Y A-T-IL UNE VIE PENDANT LE FOOT ?
Le monde entier a les yeux scotchés sur le Brésil. La terre s’est arrêtée de tourner. Le temps a suspendu son vol, tandis que sur le stade, un ballon rond, ou comme le dit désormais l’éducation nationale : un référentiel bondissant que se disputent vingt-deux pithécanthropes bas du front, poursuit sa course vers le fond d’un filet.
Du pain et des jeux, c’est ce qui fait marcher le monde depuis longtemps.
L’actualité n’offre plus que quelques faits divers navrants, noyés sous des dissertations sans fin sur le score des équipes, les pronostics, les analyses de jeu, l’éventuel état de santé de tel joueur… J’ai coupé ma télé. L’occasion ou jamais de se plonger dans les livres que l’on n’a pas encore eu le temps de lire, comme « Français, prêts pour la révolution ? » de Serge Federbusch.
LE PIB DE L’OMBRE
Quand on parle de pithécanthropes bas du front, il n’y a pas que dans le foot. Il y a aussi quelques technocrates bien trempés qui ne savent plus quoi inventer pour truquer les chiffres de la croissance. Déjà que le PIB est entaché des dépenses publiques, de sorte qu’une politique bien keynésienne consistant à dilapider l’argent du contribuable pour construire un aéroport sans avions (suivez mon regard vers l’ouest), grossit le PIB artificiellement ! Ce qui d’ailleurs fait croire que la France a une petite croissance, tant que la dépense publique augmente, alors qu’elle n’est qu’en trompe l’œil : seules les activités utiles génèrent de la richesse.
Mais il est très difficile de séparer les activités publiques utiles des autres : construire un pont qui va amener du trafic et désengorger une route est une bonne chose, construire le même pont entre deux voies où ne passe personne est nuisible pour les finances publiques, or dans le premier cas, il sera très compliqué d’évaluer le bénéfice.
Mais bon, la dernière des Bruxellois est quand même raide : inclure les activités illégales telles que la drogue, la prostitution et le trafic d’armes dans le PIB, et aussi le travail au noir… Saluons le mérite de l’INSEE, une fois n’est pas coutume, de ne pas accepter cette tricherie. Par définition ces activités étant illégales, cela veut dire que l’on pourra y mettre n’importe quoi, au pif, suivant des évaluations dont le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elles tiennent de la boule de cristal (ou de la mauvaise foi).
Sauf si c’est un moyen détourné de nous pousser à légaliser toutes ou une partie de ces activités : les pays qui l’ont déjà fait ont forcément un calcul de PIB plus favorable que les autres. Mais avant de rentrer ces données dans le calcul de la richesse produite, mieux vaudrait faire le bilan de la « légalisation » là où cela a été fait et au cas par cas. Et quid du travail au noir ? On ne l’interdit plus ?
LES INTERMITTEUX DU SPECTACLE
Comme les clignotants de l’assurance chômage échevelée des faiseurs de spectacle sont au rouge, les « artistes » nous jouent un scénario affligeant. Ils refusent d’aller se faire voir dans les festivals ? Mais s’ils ne vont pas au festival, le festival n’ira pas à eux ! Point de places gratuites pour tous les parasites de la cul - ture subventionnée. Un amuseur public qui n’amuse que lui ne touche pas le chômage, il change de métier. Un technicien du spectacle qui travaille régulièrement n’a pas de raison de se considérer comme « intermittent » : il a le choix entre CDD, intérim ou freelance, comme tout le monde et cotisera au chômage s’il est salarié. Tout le reste n’est que parasitage. Circulez, messieurs les bouffons, il n’y a rien à voir.