La photo ci-contre représente le premier ouvrage d'art terminé sur le parcours du joujou à roulettes de Delanoë, le T3 allongé. Il s'agit du mur de soutènement du talus du périph' qui longe le site du futur centre de maintenance Ladoumègue.
Pour l'instant, on a rabioté à grands frais ( 2,5 M € ) 250 mètres de talus pour aménager une nouvelle voie routière d'accès au port Serurier puisque la voie actuelle sera occupée par la rampe sud du pont à construire au-dessus du canal de l'Ourcq.
Hélas, les camions-toupies qui desservent la centrale à béton Lafarge de port Serurier ne pourront emprunter cette nouvelle voie qu'après construction du centre de maintenance des trams car le mur de soutènement ne peut retenir que la terre du talus et non supporter la dalle de couverture du centre.
Cette dalle colossale ( 250 m de long sur 140 m de large, charge au M² = 2,8 tonnes ) nécessitera des fondations profondes à réaliser le long du mur de soutènement ce qui neutralisera la future voie d'accès à port Serurier durant tout le chantier d'édification du centre surdimensionné des trams puisqu'il est conçu pour loger 50 rames alors que 22 sont suffisantes pour le T3 allongé.
Comme, en même temps, la mairie veut construire le pont sur le canal, elle ne peut attendre le bon plaisir de la RATP maître d'ouvrage du centre de maintenance toujours à la recherche des 130 M€ que coûte son bunker à trams. C'est donc la fuite en avant et elle a décidé de construire une route provisoire d'accès à port Serurier sur le terrain de feu le stade Ladoumègue !
L'ennui, c'est que cette route risque de retarder la construction du centre de maintenance et il serait bon que maire et président de la RATP expliquent comment ils vont se concerter pour éviter que les camions-toupies et les bulldozers ne se télescopent sur le terrain. Rappelons qu'il existe une kyrielle de structures sur le sujet : un comité de direction, un comité technique, un comité des décideurs et un comité de suivi du STIF, dont les travaux confidentiels ne sont jamais parvenus aux oreilles des citoyens-payeurs de cet inutile caprice à roulettes.
Pour l'instant, on a rabioté à grands frais ( 2,5 M € ) 250 mètres de talus pour aménager une nouvelle voie routière d'accès au port Serurier puisque la voie actuelle sera occupée par la rampe sud du pont à construire au-dessus du canal de l'Ourcq.
Hélas, les camions-toupies qui desservent la centrale à béton Lafarge de port Serurier ne pourront emprunter cette nouvelle voie qu'après construction du centre de maintenance des trams car le mur de soutènement ne peut retenir que la terre du talus et non supporter la dalle de couverture du centre.
Cette dalle colossale ( 250 m de long sur 140 m de large, charge au M² = 2,8 tonnes ) nécessitera des fondations profondes à réaliser le long du mur de soutènement ce qui neutralisera la future voie d'accès à port Serurier durant tout le chantier d'édification du centre surdimensionné des trams puisqu'il est conçu pour loger 50 rames alors que 22 sont suffisantes pour le T3 allongé.
Comme, en même temps, la mairie veut construire le pont sur le canal, elle ne peut attendre le bon plaisir de la RATP maître d'ouvrage du centre de maintenance toujours à la recherche des 130 M€ que coûte son bunker à trams. C'est donc la fuite en avant et elle a décidé de construire une route provisoire d'accès à port Serurier sur le terrain de feu le stade Ladoumègue !
L'ennui, c'est que cette route risque de retarder la construction du centre de maintenance et il serait bon que maire et président de la RATP expliquent comment ils vont se concerter pour éviter que les camions-toupies et les bulldozers ne se télescopent sur le terrain. Rappelons qu'il existe une kyrielle de structures sur le sujet : un comité de direction, un comité technique, un comité des décideurs et un comité de suivi du STIF, dont les travaux confidentiels ne sont jamais parvenus aux oreilles des citoyens-payeurs de cet inutile caprice à roulettes.