Un lâche attentat a précipité le déclenchement d’une guerre de tranchées à Paris : le boulevard Jean Jaurès a été froidement assassiné. Plus dur à admettre encore, les auteurs du coup ont organisé les funérailles et planté des malingres massifs qui ont aussitôt servi de dépotoirs aux ennemis du socialisme municipal. Mais nous ne laisserons pas les suppôts de la capitale poursuivre leurs manœuvres.
Extrait du Delanopolis
« Camarades !
Face aux défis auxquels est confronté le socialisme parisien, il nous faut bâtir un front de classe, une digue contre la mondialisation automobile ultralibérale. Pour conjurer le mauvais sort électoral, la distribution de logements sociaux et de subventions aux associations méritantes n’est plus suffisante. Les réactionnaires motorisés ne pourront être efficacement contenus et même châtiés que par l’utilisation résolue de massifs plantés. »
Pour accéder aux photos, cliquer ici
Face aux défis auxquels est confronté le socialisme parisien, il nous faut bâtir un front de classe, une digue contre la mondialisation automobile ultralibérale. Pour conjurer le mauvais sort électoral, la distribution de logements sociaux et de subventions aux associations méritantes n’est plus suffisante. Les réactionnaires motorisés ne pourront être efficacement contenus et même châtiés que par l’utilisation résolue de massifs plantés. »
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