Le chic est en état de choc. Les élégantes avenues qui mènent à l’Etoile ou à son voisinage ont peu ou prou échappé aux dégâts delanoistes. Mais il y a eu hélas quelques balles perdues dont l’avenue Montaigne et l’avenue Kléber sont les premières victimes. Les nouvelles demoiselles de Paris, dites « Delanoettes », potelets plastifiés tordus et noircis, sont donc désormais la marque de fabrique de nos grands couturiers en urbanisme. Prenons garde que, demain, les Champs-Elysées ou le Pont-Neuf ne passent à la casserole.
Extrait du Delanopolis
« … les « beaux » quartiers ont moins souffert des travaux de la mairie que les quartiers « populaires ». Pourquoi ? Tout découle de la bonne vieille méthode clientéliste de Delanoë. Il voulait réserver l’essentiel des aménagements de voirie aux arrondissements de gauche, pour récompenser leurs habitants et les encourager dans leur bien-votance. Aussi, les destructions urbaines ont-elles frappé, pour l’essentiel, les quartiers à gestion « socialverdiste ». Les autres ont été épargnés et ils peuvent en remercier tous les jours Saint Jean du Pognon et Saint Grégoire du Fric. »
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