Extraits du Delanopolis
ATOUT N°1 : la Voix de son maire (Direction de la communication et médias gentils)
Scoop ! En mars 2001, ce n’est pas Bertrand Delanoë qui a été élu maire de Paris ou le parti socialiste qui a remporté les élections municipales. C’est « Bertrand Delanoë communication », micro-entreprise du secteur des médias, qui s’est emparé de l’Hôtel de ville. Pareille à ces bestioles marines qui entrent dans des mollusques bien plus gros qu’elles, puis qui les mangent petit à petit, croissent et grossissent jusqu’à occuper toute la coquille, Bertrand Delanoë communication dévore peu à peu tous les services municipaux, détourne à son profit toutes les politiques et prépare l’avènement de la plus grosse agence jamais vue sur cette planète…
Scoop ! En mars 2001, ce n’est pas Bertrand Delanoë qui a été élu maire de Paris ou le parti socialiste qui a remporté les élections municipales. C’est « Bertrand Delanoë communication », micro-entreprise du secteur des médias, qui s’est emparé de l’Hôtel de ville. Pareille à ces bestioles marines qui entrent dans des mollusques bien plus gros qu’elles, puis qui les mangent petit à petit, croissent et grossissent jusqu’à occuper toute la coquille, Bertrand Delanoë communication dévore peu à peu tous les services municipaux, détourne à son profit toutes les politiques et prépare l’avènement de la plus grosse agence jamais vue sur cette planète…
JOKER N°1 : les jeux olymputschs ou : le coup d’Etat manqué du 6 juillet 2005.
Perdue dans l’histoire de France des débuts du vingt-et-unième siècle, une date risque d’échapper à la sagacité des chroniqueurs de demain. Soucieux d’alimenter, non seulement de vaines polémiques politiquement incorrectes, mais aussi une analyse sérieuse de la France d’aujourd’hui, nous nous efforcerons de lever le voile sur une journée qui faillit compter dans notre destinée commune : celle du 6 juillet 2005, où un coup d’Etat d’un genre radicalement nouveau, ourdi par Delanoë et quelques complices, s’éventa comme une baudruche sous le coup d’épingle d’un british du nom de Sebastian Coe…
Perdue dans l’histoire de France des débuts du vingt-et-unième siècle, une date risque d’échapper à la sagacité des chroniqueurs de demain. Soucieux d’alimenter, non seulement de vaines polémiques politiquement incorrectes, mais aussi une analyse sérieuse de la France d’aujourd’hui, nous nous efforcerons de lever le voile sur une journée qui faillit compter dans notre destinée commune : celle du 6 juillet 2005, où un coup d’Etat d’un genre radicalement nouveau, ourdi par Delanoë et quelques complices, s’éventa comme une baudruche sous le coup d’épingle d’un british du nom de Sebastian Coe…
JOKER N° 3 : Paris Plonge.
Paris Gadget, Paris Paillettes ! Le slogan est tout trouvé pour résumer l’action municipale de ces sept dernières années. Ce triomphe de l’éphémère et du tape-à-l’œil mâtiné de discours solidariste connaît tous les ans un climax scénarisé avec l’arrivée de palmiers et de sable à Paris Plage, appellation d’origine incontrôlée et occasion d’une risible dispute avec le Touquet pour savoir qui a le droit de l’utiliser…
Paris Gadget, Paris Paillettes ! Le slogan est tout trouvé pour résumer l’action municipale de ces sept dernières années. Ce triomphe de l’éphémère et du tape-à-l’œil mâtiné de discours solidariste connaît tous les ans un climax scénarisé avec l’arrivée de palmiers et de sable à Paris Plage, appellation d’origine incontrôlée et occasion d’une risible dispute avec le Touquet pour savoir qui a le droit de l’utiliser…